Mutuelle pour profession libérale : chirurgien-dentiste
- Le métier pour profession libérale : chirurgien-dentiste
- Quelles sont les fonctions d’un chirurgien-dentiste ?
- Les risques professionnels de ce métier
- La gamme Henner Pro TNS
La couverture santé du chirurgien-dentiste dépend de la Sécurité sociale pour les indépendants (ex-RSI). Le taux de prise en charge de ce régime est similaire à celui de l’Assurance Maladie. Pour pouvoir obtenir un meilleur remboursement de ses dépenses de santé en cas de traitements coûteux, le chirurgien-dentiste doit ainsi souscrire à une complémentaire santé. Décryptage des fonctions de ce professionnel, des risques du métier et de la mutuelle santé adaptée pour le chirurgien-dentiste .
Le métier en profession libérale : chirurgien-dentiste
Le métier de chirurgien-dentiste consiste à s’occuper médicalement des dents, des gencives, des maxillaires afin d’assurer la santé bucco-dentaire et l’esthétique du sourire de ses patients. Pour ce faire, le chirurgien-dentiste traite les caries, les infections de la cavité buccale, pose des prothèses, etc. Son but est de soulager son patient pour que celui-ci retrouve le goût de la vie et le plaisir de sourire après avoir subi des infections ou autres problèmes bucco-dentaires. Un chirurgien-dentiste en exercice libéral doit être titulaire d’un diplôme d’État de docteur en chirurgie dentaire. Ce diplôme est obtenu après des études universitaires de 6 années qui s’organisent en 3 cycles.
- Le premier cycle des études universitaires du chirurgien-dentiste se déroule sur 3 ans.
- Le second cycle d’études odontologiques (DCEO) se déroule sur 2 ans.
- Le 3ème cycle comprend un cycle court d’un an ou un cycle long de trois ans.
Le cycle court de un an, durant la 6ème année d’étude, intéresse les étudiants qui préfèrent l’exercice libéral. Ils soutiennent une thèse et se voient décerner le diplôme d’État de docteur en chirurgie dentaire. Le cycle long de 3 ans ou de 4 ans commence par le concours de l’internat qui lui permet, après avoir obtenu le diplôme d’État en chirurgie dentaire, de décrocher un DES ou Diplôme d’Études Spécialisées.
L’étudiant en chirurgie dentaire peut choisir parmi les trois spécialités existantes, dont :
- orthopédie-dento-faciale,
- chirurgie orale,
- médecine bucco-dentaire.
Le chirurgien-dentiste salarié peut s’installer en libéral seul ou en groupe. À noter que 90 % des chirurgiens-dentistes exercent en libéral. Si le chirurgien-dentiste exerce en libéral, son salaire net mensuel moyen est de 6 100 €. En tant que salarié, le chirurgien-dentiste touche entre 2 800 et 3 500 € par mois.
Quelles sont les fonctions d’un chirurgien-dentiste ?
Ce docteur en chirurgie dentaire ou en médecine dentaire est spécialisé dans le traitement, les soins, et la prévention des infections de la bouche, des dents, des gencives, des maxillaires et des tissus voisins. Il réalise également la pose de prothèses dentaires telles que les bridges, les couronnes et les implants. Généralement, avant de commander la prothèse dentaire chez le prothésiste, il effectue le moulage de la bouche du patient. Le chirurgien-dentiste spécialisé en orthodontie effectue également le redressement des dents et l’ajustement de l’articulation des mâchoires.
Pour exercer cette profession, l’intéressé doit être :
- titulaire d’un doctorat en chirurgie dentaire,
- inscrit auprès de l’Ordre national des chirurgiens-dentistes.
Le diplôme est obtenu après au moins 6 années d’études. Le parcours d’étude en dentisterie est le même que pour l’étude de la médecine en première année. Lorsqu’il exerce en tant que libéral, un chirurgien-dentiste doit savoir écouter attentivement, faire preuve de sang-froid et de patience afin de pouvoir prodiguer des soins de qualité et se constituer un portefeuille de clients en toute sérénité.
Les risques professionnels de ce métier
Bien que ce professionnel libéral réalise des soins, il peut aussi avoir des problèmes de santé. En effet, les horaires exigeants, les contraintes de temps et la charge de travail peuvent lui causer du stress et de la fatigue physique. Il peut aussi avoir des troubles musculo-squelettiques du fait qu’il ne change pas souvent de position dans l’exercice de son travail. Or, comme la SSI ne rembourse pas certains postes de santé, il a intérêt à souscrire à une complémentaire santé pour renforcer les garanties du régime général afin de bénéficier d’une meilleure prise en charge de ses soins de santé.
Pour tous les indépendants et les professions libérales, il existe des mutuelles proposant des garanties performantes adaptées à leurs besoins. Certaines de ces mutuelles sont également éligibles à la loi Madelin, ce qui signifie que les assurés peuvent bénéficier des déductions fiscales sur leur cotisation.
Pour trouver la complémentaire santé en adéquation avec son budget et ses besoins, il est recommandé de utiliser un comparateur de mutuelles comme l’outil disponible sur ce site. Cet outil gratuit et sans engagement permet aux futurs assurés de trouver en quelques clics l’assurance santé complémentaire proposant le taux de remboursement répondant à leurs besoins et une cotisation compétitive.
La gamme Henner Pro TNS
Parmi ces mutuelles, on retrouve par exemple la gamme Henner Pro de la mutuelle GMC. Cette gamme est dédiée aux professions libérales et aux TNS (Travailleurs Non Salariés). Elle propose 6 niveaux de couverture sans délai de carence et avec une carte tiers payant.
Ce contrat éligible à la loi Madelin et conforme au contrat responsable propose des remboursements haut de gamme et des garanties renforcées avec une prise en charge des dépassements d’honoraires jusqu’à 400 % et des actes de radiologie et de laboratoire jusqu’à 500 %, ainsi qu’un remboursement de médecines douces jusqu’à 250 euros. Pour mieux comparer les différentes garanties, il est toujours recommandé d’utiliser un comparateur de mutuelles. Si vous êtes intéressé par cette complémentaire santé, n’hésitez pas à utiliser le simulateur présent sur ce site.